Il avait une bonne idée. Une belle énergie.
Mais au bout de 48h, il m’a dit :
“C’est trop dur, je vais abandonner.”
Je ne l’ai pas motivé. Je ne lui ai pas dit “tu peux le faire”.
Je lui ai juste dit :
“Et si c’était ton premier vrai test ? Pas celui du projet, celui de ta constance.”
Il n’a pas abandonné. Il a ralenti. Il a respiré.
Et surtout, il a accepté que ce soit pas parfait.
Aujourd’hui, il a un projet vivant. Pas parfait. Mais cohérent avec qui il est.
Moralité ?
Les projets qui tiennent sont ceux qu’on accepte de vivre… avec leurs creux.

