Dans le vestiaire, il n’y a pas de posture — juste toi et ton souffle

Avant chaque match, il y a un moment de silence.
Ce moment, c’est le vestiaire.

Pas le bling. Pas l’agitation. Pas l’arbitre, pas les cris.
Juste toi. Ton souffle. Ton envie. Tes doutes.

Chez CASLA, on ne te met pas directement sur le terrain.
On commence ici.
Dans ce espace brut, où tu peux enfin poser ton sac, ta fatigue, ton rêve.

Ce que j’entends souvent dans ce vestiaire :

"J’ai trop d’idées, je sais pas par où commencer."
"J’ai peur que ce soit ridicule."
"Et si je me plante ?"
"Je suis pas assez…" (choisis ton poison : pro, prêt, bon, structuré…)

Et tu sais quoi ?
C’est parfait.

Parce que dans le vestiaire, on ne joue pas encore.
On respire.
On défait les lacets trop serrés.
On regarde le vrai soi, celui qui n’est pas là pour performer, mais pour exister.

Ce que je fais, à ce moment-là :

• Je n’optimise pas ton offre

• Je ne te demande pas ton "avatar client"

• Je ne t’invente pas un storytelling

Je t’écoute.
Et surtout, je te laisse entendre ce que toi tu dis — pour la première fois peut-être sans filtre.

Ce moment de vérité douce, il est précieux.
C’est ça le secret du vestiaire :

Pas besoin de masque.
Pas besoin d’avoir un plan parfait.
Il suffit d’être prêt à se regarder pour de vrai.

Et une fois que c’est fait…
On peut parler tactique.
On peut ajuster tes crampons.
Et oui, on peut aller jouer.

À toi de jouer :

Avant de poster, vendre, pitcher…
As-tu pris ton moment de vestiaire ?
Pas pour réfléchir, mais pour te reconnecter.